Roses des vents   Elles ornent le ciel de carrières, parfois à proximité des cabinets de curiosité, mais pas systématiquement. Point de repère donnant l'orientation des points cardinaux. Avant le XVIIIème siècle on utilise encore les appelations 'levant', 'couchant' et 'midi' à la place de est, ouest et sud.
Ici près de Notre-dame-des-champs, la rose n'est pas très bien concervée, mais on voit encore l'inscription au pochoir "LEVANT" et on devine "MIDI" et un peu plus loin au dessus du trait noir de l'ancien circuit du musée "Minéralogie" écrit au crayon et avec une flèche.
	Au plafond du Cabinet minéralogique de Notre-dame-des-champs, on voit encore les écritures "LEVANT" "COUCHANT" "NORD" "SUD" aux quatres points cardinaux. Cabinet de M. Lhuillier.
	Au plafond d'une pièce ramblayée dans l'ossuaire, cette rose des vents était à proximité d'un cabinet d'ostéologie que le temps d'a pas épargné, il n'en reste rien de plus. (Cabinet de M Gambier-Lapierre)
	Celle ci est dans le cabinet de minéralogie reconstitué des carrières des Capucins sous l'hôpital Cochin.
	Près de l'abri de de la fac de pharmacie, à moitié mangée par un mur en pierre, cette rose des vent n'est pas (encore) associée à un cabinet de curiosité.
	L'une des deux roses des vents les mieux concervées, on distingue même encore les bords des pochoirs. Au VDG, comme la seconde plus bas, non associée à un cabinet.
	La seconde du VDG. On notera que le levant est associé à un point en bout de flèche, et le couchant par trois points.
	Rose des vents du cabinet minéralogique sous la route de Fontainebleau (de M. Toudouze)
	Rose des vents au sud du cabinet sous la route de Fontainebleau
	Rose des vents sous l'observatoire
	Faite par des cataphiles, dans le réseaux du XIIéme.
Roses des vents dessinée sur (étrangement) le mur de galeries :
Rue Broussais   Carrière de la visitation   Sous le parc Montsouris   Rue Jean Dolent   Rue Méchain